Une jeune femme, danseuse de trente-quatre ans, qui veut se suicider et se jette d’un pont. Avant d’y aller elle laissera un message ou elle exprime sa lassitude a la vie elle disait être « fatiguée de vivre ».
 
Un jeune homme de passage la verra sauter et se rendra compte qu’elle patauge dans l’eau.
 
Oubliant qu’il ne sait pas nager, Il dépose ses effets et saute dans l’eau dans une tentative aveugle de sauver un être humain. C’est ainsi qu’il commencera à son tour à se débattre dans l’eau et risquant sérieusement de se noyer lorsque la jeune dame, dans un moment de désespoir s’aperçoit que celui qui voulait la sauvé est sur le point de se no.y.er à son tour, elle va momentanément oublier son propre désespoir, commencera à pagayer vers lui.
Alors qu’il buvait de l’eau à grande gorgé elle l’attrapera et le fera reprendre son souffle, dans un geste de force elle réussira et le tirer sain et sauf jusqu’à la terre ferme.
 
Au lieu de mettre fin à sa propre vie, elle venait de sauvé celle d’un autre.
 
POURQUOI ELLE SAUVE LA JEUNE HOMME ?
 
À ce moment crucial où elle a vu le jeune homme lutter pour la vie, sa propre vie a soudainement gagné quelque chose qui lui manquait auparavant : un but.
 
Elle avait compris dans un éclair dramatique la différence entre n’avoir aucune raison de vivre et quelque chose sur quoi s’accrocher pour vivre.
 
Ainsi, après avoir mis le jeune homme en sécurité, les deux ont été emmenés à l’hôpital soignée et désintoxiqué.
 
LA MORALE DE L’HISTOIRE
 
Cette histoire se rapporte à nous, nombreux sont ceux qui pensent que la vie n’a pas de raison d’être simplement parce qu’ils n’ont pas de but véritable dans la vie et lorsqu’ils se fixent des but ils sont si petit et sans aucun conviction au point ou le moindre soubresaut le fait basculer.
 
Prenons l’exemple avec la migration des peuples lorsqu’un libanais, indien, français, belge, chinois arrive en Afrique c’est dans le but ultime de faire fortune, quel que soit ce qui se passe il tient bon et ne lâche rien s’il ne le devient pas il va créer les conditions adéquates pour que ses descendants puissent faire fortune. Nous avons à nos jours des cas bien précis, autour de nous.
 
Achcar (Mali)
Fakhry (Côte d’Ivoire, venant du Sénégal)
Houdrouge (Sénégal)
Jalal Kaawar (Sénégal) dirige l’entreprise Orca
Chagoury (Nigeria)
 
El Sahely (Cameroun)
En quittant le Sud-Liban, Maarouf El Sahely ne se doutait sûrement pas qu’il deviendrait un jour le leader de l’industrie des boissons en Angola, au Cameroun, en Centrafrique, au Congo-Brazza et en Zambie. Au Cameroun, la dynastie est présente dans de nombreux secteurs : le bois (avec Sefca), le transport (Solet) et l’eau minérale (Source du pays). Créée à l’initiative de Youssef, le père, Sefca est désormais dirigée par deux de ses fils, Jamal et Nessrallah.
 
Ghandour (Côte d’Ivoire)
 
Créée dans les années 1960, à Dakar, par le patriarche de la famille, la parfumerie Gandour a migré vers la Côte d’Ivoire, où elle est devenue un acteur majeur du secteur des cosmétiques. Ses produits sont distribués jusqu’en Europe et aux États-Unis, sous la marque Nouvelle Parfumerie Gandour (NPG). Mais la famille reste présente dans les deux pays. L’orthographe de son nom est un peu fluctuante, puisque l’on trouve aussi bien des Ghandour que des Gandour et des El Ghandour. Comme pour compliquer un peu plus ce dédale onomastique, NPG est aujourd’hui dirigée par le gendre de Mahmoud El Ghandour, un certain Ghandour Ghandour !
 
Ici, nous avons une liste non-exhaustive de quelque libanais, qui arrivent à faire ces exploits chez-nous parce qu’ils avaient un but et ils y sont arrivé.
 
Lorsqu’on regarde de notre côté, même si nous voyons l’un des notre se noyer, il sera difficile de lui venir en aide, car le but et l’objectif de dominer des secteurs sont absent, nous avons perdu la volonté de puissance et de domination.
 
Les autres fuient la misère chez eux mais on l’objectif de faire fortune chez les autres, de notre cote nous fuyons la misère dans nos pays mais l’objectif reste celui d’avoir juste un peu de quoi vivre et conditionner nos enfants à être comme nous. Lutter juste pour la survie ce qui nous rend de plus en plus faible on est en passe de se demander qui sont ceux des nôtres qui font fortunes ou qui ont des noms dans les pays de ces derniers pourtant nous avons tous les atouts et le potentiel mais hélas nos objectifs sont loin des réalités du monde contemporain.
 
Suite à cela nous avons mis sur pied une armé puissante, une armé fermée et restreinte mis sur pied par ceux qui comprennent la nécessité de reprendre ou de nous imposer dans le secteur du négoce des matières premières il sera inadmissible que les autres viennent chez nous faire fortune devant nous entre temps nous ne faisons rien chez nous encore moins chez eux alors pour pénétrer ce groupe très fermes des personnes qui ont des but bien précis dans la vie voici l’occasion unique.
 
Svp uniquement qui ont déjà les moyens car nous avons compris que ceux qui n’ont pas les moyens sont moins ambitieux et lorsqu’ils essaient de faire quelque chose ils pensent naïvement que le résultat sera immédiat c’est pourquoi n’acceptons que ceux qui ont les moyens et qui ont compris que la fortune ne se construit pas en un laps de temps que c’est un travail de longue haleine, alors si vous avez moins de 20 000 000 dans votre compte bancaire ne cliquer pas sur ce lien il n’est pas fait pour vous, vous n’avez pas encore assez de moyen pour être des notre
 
https://www.startupane.com/formations/negoce-international-et-tourisme-entrepreneurial-cameroun/
TCHAKOUTE Ernest
Douala le 11/10/2023 – 18H34
www.group-alliancegulf.com