QUAND LES GRANDES SURFACES NOUS POUSSENT TOUS À NOUS RUER VERS LE DIGITAL POURTANT L’ARGENT SE TROUVE SUR LE TERRAIN

Chaque fois ou vous voulez vous lancez dans un secteur regarder ce que font les occidentaux chez-vous et faites la même chose tout en apportant votre touche personnelle.

Je sais que cette affirmation fera sursauter beaucoup d’entre nous surtout en cette période ou la promotion du e-commerce est en plein boom, en plus certains auront de la sueur froide, car il y a ce sentiment anti Occident qui surgit de plus en plus dans nos cœurs au vu de tout ce qu’ils ont fait à l’Afrique, mais, force est de constater que nous sommes dans un monde en guerre et nos indignations ne les empêcheront pas de continuer dans leur lancer. Il nous revient de regarder le monde froidement de l’affronter sans états d’âme et aucune émotion possible.

Pour des raisons d’ego, il est difficile de prendre l’exemple ou avoir pour baromètre ton oppresseur d’hier, mais il faut savoir que jusqu’ici, ils tirent leur force de notre ignorance, nous ignorons tout de nous, de nos pays, de nos concitoyens pour ne pas dire de notre histoire et cultures.

Car c’est eux qui ont tracé les nouvelles villes et frontières d’Afrique rien que pour cela dans certaines reconnaissons qu’ils ont une longueur d’avance sur nous.

Source : https://www.futura-sciences.com/sciences/questions-reponses/histoire-histoire-partage-afrique-europeens-13783/

 

Avec une analyse profonde des choses, on comprend que nous avons deux choix réécrire les règles avec nos propres codes ou s’appuyer sur ce qu’ils ont fait pour aller plus vite et plus loin tout en sachant qu’ils feront tout pour brouiller les pistes personne n’est dupe.

LA DUPERIE  

– Juin 2013 création de jumia Cameroun

– Novembre 2019 Fermeture de Jumia Cameroun

– Décembre 2019, fermeture de Jumia Tanzanie

– Avant cela, le 5 décembre 2017 le groupe Français, Carrefour ouvrait son premier magasin au Cameroun et c’était à Douala, la capitale économique.

– Le 9 octobre 2019 le groupe carrefour ouvre son magasin au quartier Ekié, dans la banlieue de Yaoundé, la capitale camerounaise Ce sera le second supermarché de cette enseigne à ouvrir au Cameroun en moins de 2 ans.

– Ce 16 septembre 2020, Carrefour, inaugurera une nouvelle boutique dans le quartier commercial d’Akwa, à Douala, la capitale économique du Cameroun. Bâti sur une superficie de 1100 m2, dont 700 m2 de surface de vente, Carrefour Market Akwa, situé au lieu-dit « Ancien Dalip ».

source : https://carrefour.cm/2020/09/16/ouverture-du-carrefour-market-ancien-dalip-dans-le-quartier-dakwa-a-douala/

Ce supermarché, qui offrira un large assortiment de produits alimentaires, avec notamment une importante gamme de produits « made in Cameroun », deviendra ainsi la 2e enseigne de cet opérateur dans la ville de Douala.

– Une 3e boutique Carrefour dans la capitale économique sera logée dans l’enceinte du Douala Grand Mall, immense infrastructure de commerce et de divertissement, dont l’ouverture est prévue au cours du mois de septembre courant.

source : https://kamerpower.com/fr/douala-grand-mall-plusieurs-opportunites-demploi/

– Dans le cadre de son expansion en Afrique subsaharienne, Carrefour, qui est associé à CFAO Retail dans une stratégie de conquête du marché africain, entend ouvrir au total cinq supermarchés au Cameroun, d’ici à la fin d’année 2020.

– Pour montrer sa voracité économique, Jean-Christophe Brindeau, le directeur général de CFAO Retail, au cours d’une conférence de presse le 9 octobre 2019 à Yaoundé, disait qu’en plus des boutiques de Bonamoussadi, Akwa, Douala Grand Mall et Ekié, Carrefour entend lancer cette année, sa toute première enseigne Supeco au Cameroun.

– Spécialisée dans le Cash & Carry, qui est une technique de vente en gros et à bas prix, Supeco rejoindra sur ce segment de la grande distribution l’enseigne baptisée BAO (première expérience africaine dans ce domaine), officiellement ouverte par le groupe Casino le 28 mars 2018 à Douala.

– Au premier trimestre 2021, suivra l’hypermarché PlaYce de Carrefour à Yaoundé, qui permettra ainsi au couple Carrefour-CFAO Retail de boucler la première phase de leur expansion au Cameroun, avec la construction de six supermarchés au total, pour un investissement global d’environ 80 milliards de FCFA.

– « Nous commençons à regarder dans d’autres villes. Dans 3 ou 4 ans, il est envisageable d’ouvrir de nouveaux supermarchés en dehors de Douala et de Yaoundé », avait confié Luc Demez, le DG de CFAO Retail Cameroun, au sortir de la conférence de presse du 9 octobre 2019 à Yaoundé. (source : Investir au Cameroun)

LE PARADOXE

En 2018 le groupe décide d’investir 2,8 milliards d’euros (soit 1637 milliards de FCFA) sur cinq ans dans le digital (560 millions d’euros par an). Nous sommes en droit de nous interroger s’ils décident d’investir une telle sommes dans le digital pourquoi en Afrique ils continuent à se concentrer dans la construction des magasins physique au lieu de le faire sur le digital?

Uns visite de leur site internet et leur page Facebook au Cameroun montre qu’ils ont moins de 90000 abonnés, sur Facebook pourtant nous avons des entrepreneurs ou boutiques en ligne qui ont plus de 1 000 000 abonnés. Leur site internet ressemble plus au site d’un anthropologue à la retraite qui expose ses fouilles réalisés à travers le monde (comprendre que très peux attrayant pour une si grande marque).

La question est pourquoi délaissent-ils le côté digital pour se concentrer sur le commerce physique ?

La réponse a été donné quand un article qui a été rédigé en 2018 voir  ICI

Dans l’article nous parlions des études ethno religieuse et sociaux culturels qui explique le pouvoir de la religion, de la culture, de l’environnement, des habitudes dans le comportement d’achat d’un peuple

LISTE DE QUELQUES GRANDES SURFACES AU CAMEROUN

Super U,  pays d’origine : France  ; LIKE de la page Facebook : 142 922 

Spar,  pays d’origine : Hollande : LIKE de la page Facebook : 4 008 

Carrefour,  pays d’origine : France : LIKE de la page Facebook : 83 313

Leader price, pays d’origine : France : LIKE de la page Facebook : 81

Casino, pays d’origine : France : LIKES de la page Facebook :16 539

Dovv, pays d’origine Cameroun : LIKE de la page Facebook : 8 780

Santa Lucia, pays d’origine Cameroun : LIKE de la page Facebook : 29 444 

Arno, Fondateur : Anestis Arnopoulos. LIKE de la page Facebook : 16 539 

POURQUOI VENDRE DANS UNE GRANDE SURFACE ?

 C’est bien connu : le but des vendeurs, c’est de vendre… Ou du moins nous pousser à acheter tout et n’importe quoi. On estime que 30 à 40% des achats sont des achats “impulsifs”, c’est-à-dire réalisés sous l’effet de l’émotion.

 LES MOTIVATIONS À LA FRÉQUENTATION D’UN POINT DE VENTE

Pourquoi les individus se rendent-ils dans les magasins ? La réponse peut paraître évidente : pour satisfaire un besoin. Mais ce n’est pas si simple, du fait que de nombreuses personnes sont présentes dans les points de vente sans, apparemment, de désir très précis à satisfaire.

TAUBER, dans son livre « Why do people shop ? journal of marketing, » distingue deux ensembles de raisons qui poussent les consommateurs au magasinage : les mobiles d’ordre personnel et les motivations plus sociales.

LES MOBILES PERSONNELS

Cinq types de motivations peuvent pousser un individu à sortir de chez lui pour fréquenter un point de vente :

Chercher à rompre avec la routine du quotidien. L’accès libre au magasin constitue une récréation ludique gratuite ; les centres villes et les centres commerciaux sont autant de lieux de visites agréables et divertissantes.

Se tenir au courant. Le magasinage permet d’observer les modes vestimentaires, les nouveautés du bricolage et de la décoration…

L’espoir de réaliser de bonnes affaires. La publicité pour les commerces annonce le plus souvent des opérations spéciales destinées à raviver l’intérêt des consommateurs. Ces derniers n’ont, en fait, pas de besoin particulier, mais ils ont peur de passer à côté d’affaires exceptionnelles, à ne pas manquer.

Entreprendre une activité physique. Magasiner, cela veut dire des kilomètres à pied dans les rues, les galeries marchandes ou les allées des grandes surfaces.

Vouloir s’imprégner d’une ambiance. Les cinq sens peuvent être mis en éveil dans le magasinage : la vue grâce aux vitrines, aux produits ou aux autres clients ; l’ouïe, par les bruits du marché ou les musiques d’ambiance ; l’odorat, souvent éveillé par des parfums et d’autres odeurs stimulantes ; le toucher, lorsque le consommateur palpe les vêtements ou les meubles ; le goût, par des aliments dégustés sur un marché ou dans une grande surface.

LES MOTIVATIONS SOCIALES

Ici aussi, on dénombre cinq stimuli pouvant expliquer le magasinage :

La recherche de contacts sociaux. La rue commerçante, le supermarché ou la place du marché constituent des lieux de rencontre des voisins et relations.

L’acquisition d’un statut. Dans un magasin, le client est accueilli aimablement, servi « comme un roi », bénéficie de la part de vendeurs, d’attentions de plus en plus rares par ailleurs.

Le désir d’assimilation à un groupe. Le consommateur fréquentera d’autant plus volontiers tel commerce qu’il aura le sentiment que clients et personnels y partagent les mêmes centres d’intérêt que lui. Cela est surtout vrai dans des domaines spécialisés comme le sport, la librairie, les loisirs créatifs, l’informatique, l’automobile…

Se changer les idées. Dans les commerces, on voit du monde, on peut essayer ainsi de compenser sa solitude et sa déprime ; à l’inverse, c’est une façon de s’accorder une récompense lorsqu’on est content ou de se changer les idées après une tension familiale ou un stress professionnel.

Le désir de jouer un rôle. De nombreux-ses consommateurs-rices se perçoivent comme chargé-es d’approvisionner régulièrement le foyer familial en produits courants, articles à stocker ou bonne affaires imprévues, afin de passer pour de bons parents.

L’ensemble des motivations ci-dessus implique pour les grandes surfaces la nécessité de construire ou d’aménager de plus en plus de point de vente afin de répondre de manière positive à la diversité des motivations de ses clients.

Dans ce descriptif vous comprendrez pourquoi les grandes surfaces préfèrent vendre dans des magasins physiques qu’en ligne vous saurez pourquoi et comment ils nous influencent à consommer plus.

1.  Ils mettent à notre disposition des caddies beaucoup trop grands pour nous faire acheter plus

Les supermarchés ont eu l’idée de mettre à notre disposition des caddies spécialement conçus plus larges qu’un panier moyen, ceci dans le but de nous faire acheter beaucoup plus que nous n’en avons besoin. Malin n’est-ce-pas?

2.  Ils nous donnent constamment faim…

Les produits frais ou les aliments donc tout le monde aime sont souvent placés devant les portes principales, essentiellement à notre gauche, de cette manière l’odeur qui en véhicule active nos glandes salivaires nous donnant faim. Sous la pression de la faim, nous sommes donc plus enclins à réaliser des achats.

3.  Ils placent des fruits et des légumes à l’entrée du magasin.

Dans la plupart des supermarchés, les fruits et légumes sont placés à l’entrée ou au fond, pourquoi ? Tout d’abord, car leurs couleurs vives et leur fraîcheur ont un impact positif sur notre humeur, selon des études. Deuxièmement, prendre des fruits et légumes « sains » à l’entrée, nous permettra ensuite de moins culpabiliser en nous jetant sur les produits issus de la « junk food » dans les rayons suivants…. Malins !

4.  Ils ont établi une formule très sournoise pour nous faire acheter beaucoup

Avez-vous remarqué que tous les produits les plus chers se trouvaient à votre droite ? Etant donné que la majorité des consommateurs sont droitiers et donc ont tendance à attraper les produits avec la main droite, alors les supermarchés ont « pris soin » de mettre les produits les plus chers à notre droite, afin que le consommateur ait naturellement tendance à acheter le plus de produits.

5. Ils nous font croire que les produits ne sont pas chers

Lorsqu’on est pressé, on est plus facilement amené à attraper les premiers articles venus (qui sont généralement à notre hauteur) sans prêter attention aux prix. Ce sont les produits les plus chers qui sont placés à portée de nos mains.

6. Ils nous font assimiler la couleur jaune ou vert fluo aux promotions

Les supermarchés mettent souvent des étiquettes “discount” de couleurs jaune ou vert fluo lorsqu’il s’agit de mettre en avant les promotions. De cette manière, notre inconscient assimile la couleur jaune ou vert fluo aux promotions.

Jusque-là tout va bien, sauf que les supermarchés abusent de ses couleurs en l’utilisant même sur des produits qui ne bénéficient pas de réductions de prix…. Ainsi, en raison de cette association de couleurs par notre inconscient, nous sommes plus enclins à faire des achats impulsifs (sans prendre le temps de regarder l’étiquette produit).

7. Ils nous forcent à faire le tour du magasin

Ce n’est pas pour rien que les caisses se trouvent toujours à l’autre bout du magasin ou que les produits essentiels, comme, le lait ou les œufs, sont éparpillés à travers tous les rayons! De cette manière, les supermarchés nous forcent à parcourir tous les rayons, et donc être tentés par les divers produits que nous croisons …

8. Ils exploitent nos enfants

Les supermarchés prennent soin de positionner les produits les plus chers au niveau de nos yeux (à environ 1,60 mètre de hauteur) alors que les produits « premier prix » sont placés tout en bas, loin de nos regards !

Les produits destinés aux enfants eux, sont plutôt positionnés à leur niveau, pour qu’ils puissent plus facilement les attraper en disant « Maaaaman, tu peux m’acheter çaaa ? » – ce qui vous laisse rarement le choix de dire non…

8. Ils nous incitent inconsciemment à toujours acheter plus

Les produits complémentaires sont intentionnellement placés l’un à côté de l’autre de manière à nous encourager à acheter plus.

9. Ils comptent sur notre avidité pour craquer à la caisse…

Oh ces jolis petits chocolat, bonbons, chewing-gums, chips près des caisses ! Quelle belle tactique des supermarchés ! Oui oui, ils sont bien là pour nous tenter pendant que la queue pour la caisse s’allooooonge.

Vous n’avez ici que très peu sur les techniques cachées de l’industrie alimentaire pour faire les consommateurs acheter plus et il faut le dire dans le cas du e-commerce, ces techniques sont difficilement transposable en ligne.

COMPRENDRE L’IMPORTANCE RELATIVE DE LA MARQUE DU PRODUIT ET DE L’ENSEIGNE DU MAGASIN

–  si la marque est plus importante que l’enseigne, le client choisit d’abord la marque, lui est fidèle, et recherche le point de vente qui peut la lui vendre. Le rôle du merchandising et autres facteurs d’ambiance est faible. Dès lors, il devient important pour le distributeur de localiser les marques qui suscitent une très grande fidélité et de les référencer en priorité. C’est pourquoi vous verrez les magasins afficher fièrement le nom des grandes marques disponibles dans leurs rayons.

– si la marque est moins importante que l’enseigne, aux yeux du client, ce dernier est fidèle à son magasin pour des raisons matérielles ou affectives, et ce n’est qu’à l’intérieur du point de vente que s’effectue la sélection des produits, sous influence forte du merchandising et des facteurs d’ambiance. Ce cas de figure est typique de l’alimentaire : les clients choisissent d’abord l’enseigne qui est la plus près de chez eux, puis réalisent le choix de marques ;

– si la marque et enseigne n’ont pas d’importance, on se situe dans un processus de flânerie, sans objectif précis, motivé par la curiosité consommateur, son désir de découverte de nouveautés et son penchant pour rechercher la variété des lieux d’achat et des produits ;

– enfin, si une marque et enseigne sont perçues comme importantes, le client aura une relation privilégiée avec son point de vente où il saura pouvoir acheter sa marque préférée. Cette situation est typique des produits de luxe distribués selon un circuit sélectif. Dès lors, le magasin peut avoir peut de points de ventes puisque le consommateur fera un effort pour se déplacer.

Ces quatre situations montrent que le distributeur s’interroge régulièrement sur les marques capables de développer une fidélité forte dans l’objectif les référencer en priorité. S’il n’en existe pas, il devra alors faire attention à la localisation de son point de vente qui sera l’élément de choix prépondérant pour le consommateur.

L’EXPERIENCE DES 5 SINGES ET DE LA BANANE.

il est vrais que le e-commerce et le m-commerce se développent et pourtant, dans une étude il est demontré que la majoité des consommateurs préferent faire, autant ou plus de shopping dans des magasins physiques.

Le pourcentage est encore plus élevé parmi la génération Y, une bonne proportion des 18-34 ans ont l’intention de se déplacer sur le point de vente aussi ou plus souvent que dans les années anterieurs .

Lorsque le produit qu’ils recherchent est disponible aussi bien en ligne que dans un commerce à proximité, près de deux tiers des répondants affirment préférer l’acheter en magasin physique.
Certes, les comportements ont changé ; on assiste notamment à une généralisation du ROPO. Le « Research Online, Purchase Offline » désigne les actes d’achat qui s’initient sur internet (recherches de prix, produits, disponibilités…) et se finalisent dans un magasin physique.

Qu’est-ce que les « shoppers » espèrent trouver offline ? La possibilité d’obtenir le produit immédiatement, bien sûr, mais pas que ! Les consommateurs sont plus que jamais à la recherche d’une véritable expérience pour les aider à finaliser leurs décisions d’achat.

Cela tombe bien, car une fois les portes du magasin franchies, ils sont 82 % à dépenser plus que ce qu’ils avaient initialement prévu. et il existe bien des avantages a shopper dans un magasin

Le toucher

C’est la première raison pour laquelle les clients aiment se rendre en magasin. En effet, la possibilité de toucher et de sentir le produit  Et les études montrent que les consommateurs sont plus susceptibles d’acheter un produit une fois qu’ils l’ont touché ou testé.

c’est pourquoi ls magasins font appel à un lexique des sens, à des évocations de goûts ou de parfums, de matières ou de textures. Utilisez des visuels attractifs : gros plans, images de bonne qualité… Proposent clairement un échantillon ou un essai gratuit sur simple visite en magasin, et assurent toujours que sur place, les vendeurs prennent le relais pour inciter les clients à toucher, tester ves produits.

La personnalisation

Les fonctionnalités proposées en ligne telles que les suggestions de produits complémentaires ou les offres liées à l’historique des achats sont très utiles, mais elles finissent par se heurter à des limites inhérentes aux logiciels et à l’automatisation.
Rien ne vaut l’analyse et les suggestions d’un bon vendeur  dans un magasin qui, grâce à un échange en face-à-face, pourra prendre en compte bon nombre de paramètres (profil type du client, mais aussi humeur et besoins du moment, événements extérieurs…) et proposer un service contextualisé et réellement individualisé.

Au magasin, le client est bien accueilli, par un personnel à l’écoute.

Face à la quantité de choix et d’options parfois disponibles en ligne, les consommateurs se sentent parfois déboussolés et se tournent vers le commerce physique en quête de conseils et recommandations pour les aider à faire leur choix. 

Et une trés large proportion des répondants de l’étude se disent plus susceptibles de passer à l’acte d’achat s’ils sont conseillés par un vendeur averti.

Les attentes en termes de conseil sont encore plus marquées chez les jeunes. Pour les facteurs qualité-prix, qualité et fiabilité.

La disponibilité

les magasin ont comprit qu’il faut eviter à tout prix qu’un client qui fait le déplacement se retrouve face à des portes fermées ! c’est pourquoi ses magasins ouvrent tot et ferment tard pour ceux qui ne travaillent pas 7J/7 et 24H/24

Enfin, le consommateur vient chercher le contact humain, et les meilleurs ambassadeurs des grandes surfaces c’est le personnel lui-même ! Ainsi, ils ont compris que rien ne peut remplacer la disponibilité et l’amabilité des vendeurs, qui doivent toujours être disposés à assister le consommateur lorsqu’il en a besoin, sans insistance.

selon une etude periodique realisée fin 2016 sur 800 entreprises de clientes de Ve Interactive, le taux moyen d’abandon de panier dans les sites d’e-commerce est de… 80%

A la lecture de ceci il est claire qu’une entreprise sérieuse ne peut investir des milliards sur un marché sans avoir fait des études approfondis et il ressort que les grands magasins de notre écosystème négligent presque tous la vente en ligne est-ce à dire qu’ils ne sont pas si intelligent pour se lancer eux aussi ou tout simplement ils savent sur la base de l’expérience que l’argent se trouve plus dans le contact direct ? Que les consommateurs préfèrent donner de argent directement en main propre ?

Il devient claire qu’il est plus difficile de vendre un article en ligne que dans une grande surface

L’absence d’emotions pertube, voire obere la prise de decision, particulièrement quand les alternatives ne sont rationnellement pas trés différents. On cesse d’hesiter entre des solutions alternatives par gêne vis-à-vis de soi-même(il fauten finir) ou par gêne social (devantun serveur par exemple)

En ligne, le client est moins soumis à la manipulation il a le temps de lire les descriptifs et faire une comparaison de prix sur internet ensuite il a la possibilité de lire les retours des clients sur vos produits ou votre boutique ce qui n’est pas le cas dans une boutique  physique car la grande surface cultive l’individualisme chacun est plein d’ego.

L’Afrique a régulièrement des problèmes de connexions pour rester en ligne longtemps au point de faire des achats

Pour des achats groupés, la sélection du magasin prime sur celle des produits en ligne.

POUR FINIR, IL EST BON DE VENDRE EN LIGNE MAIS IL EST MIEUX D’AVOIR SES PRODUITS DANS DES GRANDES SURFACES 

VOICI CES ARTICLES CONCERANTS LA VENTE DANS GES GRANDRES SURFACES

ARTICLE 1 

ARTICLE 2 

LA SUITE PORTE SUR LES STRATEGIE DE VENTE DANS UNE GRANDE SURFACE ET LES TECHNIQUES DE MERCHANDISING POUR CE FAIRE NOUS PREVOYONS UNE FORMATION DANS CE SENS VOIR ICI

Quelques messages des internautes

Par Coach Ben 

Douala le 16/09/2020 — 16h57