Les non-dits sur des services des NATU, Netflix, Airbnb, Tesla, Uber et YouTube

Nous avons presque tous assisté à la montée en puissance de certains startups de rang mondiale et cette montée pour certains semble être le fruit du hasard ho! Que non! Tout est très bien calculé. La suite de cet article expliquera comment ses startups ont réussi à construire leur notoriété.

Nous finirons par analyser les causes profondes de l’absence des startups africaine sur l’échiquier mondial.

Alors, éteignez ou éloignez-vous de toutes sources de distractions possible et prenez une position bien confortable car le texte doit être lu avec beaucoup d’attention et concentration.

Derrière ces réussites existe beaucoup de non-dits que nous essaierons de décrypter dans cet article. ——–

L’un des principaux non-dits concerne celui de l’évolution du business modèle de ces startups dans le temps.

LE LEVIER

Chaque écosystème étant un ensemble de personnes composé d’hommes et de femmes en mathématique on dira qu’ils sont un chiffre paire 0 pour l’homme et 1 pour la femme, ensuite dans le langage informatique et de la programmation on parle de système ou code Binaire 0 pour l’homme et 1 pour la femme.

Sachant qu’aucun système ne fonctionnera sans cette suite logique 0 et 1 les startups misent plus sur ces éléments pour travailler leurs notoriétés et ceci passe par le principe des leviers et dans ce système le principale levier de progrès c’est bien évidement les utilisateurs qui sont tout simplement une succession de 010101010101 plus les 0101010101 sont nombreux plus la startup a plus de leviers car ils peuvent s’appuyer sur cette suite de code pour développer leur réseau. C’est dire que le premier levier de ces startups c’est le levier humain.

Vous comprenez que ces startups fonctionnent grâce au nombre d’utilisateurs et d’utilisatrices (comprendre les personnes des deux côtés de la plateforme). Et, pour appâter les utilisateurs, afin d’atteindre ce seuil qui va servir ensuite de base de transition vers le nouveau modèle de rémunération, que font-ils ?

Bienvenue dans l’univers de L’UBÉRISATION.

Ils proposent un service via une solution innovante, certes, mais il faut surtout un service proposé à un prix très bas voir gratuit qui est, dans la plupart des cas, non viable.

Ensuite, ils ajustent ou d’augmentent les prix, quitte à devenir plus cher que le service qu’on est venu remplacer initialement…

Nous avons le cas de Facebook, Badoo, Instagram, Linkedin, Google, au début tout était gratuit et comme ils le disent eux même, ces services resteront toujours gratuits.

Derrière tout ceci Il y a un élément de plus dans l’équation: en pratiquant le dumping sur les prix, ces startups affaiblissent voire tuent leurs concurrents traditionnels, avant de prendre leur place en offrant un service de qualité inférieure pour le même prix (elles vous diront que c’est normal, vu qu’on a ajouté un intermédiaire)

Ce type de modèle économique a pour premier objectif de créer une communauté de 010101010. Celle-ci se retrouve autour de certaines valeurs. Dans tous les cas le prix d’accès au service est extrêmement faible voir gratuit.

LE CŒUR DE CIBLE

Pour les personnes fournissant le service, la rémunération est toujours attrayante au départ. C’est obligatoire :

  • il faut alimenter/ satisfaire massivement la communauté
  • Il faut créer un système complet / rapide autour du service principal de vente
  • Il faut que le service soit si complet qu’il devienne une référence et soit incontournable

Ex: on doit trouver des chauffeurs partout à tout moment, tous les livres doivent être sur Amazon, tout le monde doit avoir WhatsApp nous incitons voir harcelons nos proches à être sur Facebook etc.

COMMENT FONT-ILS POUR FINANCER TOUT ÇA ?

Ces Startups vivent sous perfusion grâce à des levées de fond en permanence. Encore une fois le premier objectif est de fédérer une communauté énorme ou mieux de devenir la seule référence dans le domaine (ex: Amazon).

Il est important de savoir que jusqu’en janvier 2011 Facebook bouclait une levée de fonds de 500 millions de dollars (300 Milliards de Francs CFA) 450 millions provenant de Goldman Sachs et 50 millions du fonds russe Digital Sky Technologies (DST), déjà actionnaire à près de 10% de Facebook. Cette levée de fonds valorisait la société de Mark Zuckerberg à 50 milliards de dollars! Soit plus que Yahoo !, eBay ou Time Warner…

Voilà en gros comment ils font pour tenir le coût financier  car une fois que l’objectif est atteint, et que l’écosystème s’est créé autour de votre service (fournisseur de contenu, livraison, maintenance, réparation, achat d’accessoires, etc.) , une fois que vous êtes devenu la référence dans votre domaine et que votre base client est active là seulement vous pouvez penser à la rentabilité :

  • vous augmentez vos coûts (clients trop habitués, vous êtes incontournable)
  • vous baissez la rémunération de vos prestataires (trop nombreux, donc remplaçables)
  • vous comprenez pourquoi les chauffeurs ou livreurs d’Uber sont de plus en plus mal rémunéré et ne peuvent tout simplement pas partir car on a créé une forme de dépendance au service et ils deviennent impuissants à travailler seul.

LE PIONNIER

La première plateforme collaborative en ligne créée est eBay en 1995. Elle met en relation des particuliers dans l’objectif qu’ils s’achètent et se vendent des biens entre eux.

Puis, en 1999 apparaissent les premières pratiques de couchsurfing. Un étudiant américain, Casey Fenton, contacte d’autres étudiants de l’université de Reykjaviken, afin de trouver un hébergement gratuit pour le voyage qu’il souhaitait entreprendre en Finlande. Il reçoit de nombreuses réponses positives. Suite à cette expérience il décida de développer ce type d’échanges de services. En 2004, il participa donc en grande partie à la fondation de l’association Couchsurfing.

CouchSurfing est une entreprise dont l’objet social est d’assurer un service d’hébergement temporaire et gratuit, de personne à personne. Les personnes proposant simplement un lit ou un canapé pour dormir (une nuit le plus souvent) en étant eux-mêmes présents dans leur logement et les personnes cherchant un hébergement sont mises en relation via un service en ligne. Ce projet, initialement établi aux États-Unis en 2004 sous forme d’association à but non lucratif, est depuis 2011 une société commerciale.

Le terme de « CouchSurfing » est un terme anglais que l’on pourrait traduire par le fait de « passer d’un canapé à l’autre ». On peut y voir également une allusion au surf sur internet pour trouver un canapé où dormir.

L’image est celle du voyageur découvrant la planète et ses habitants avec le canapé comme moyen de locomotion.

En 1999, lors d’un voyage en Islande, le programmeur américain Casey Fenton contacte par liste de diffusion des étudiants de l’université de Reykjavik pour demander à être gracieusement hébergé, avec l’espoir de pouvoir rencontrer des habitants de la région. Le nombre impressionnant de réponses positives le convainc qu’il existe une communauté de personnes pensant autrement le voyage, plus centrée sur l’humain. Au retour de son voyage lui vient l’idée de créer un site web pour mettre en relation les membres de cette communauté. Il enregistre le nom de domaine couchsurfing.org le 13 juin 1999.

Ce n’est que quelques années plus tard, le 2 avril 2003 qu’est fondé l’organisme sans but lucratif Couchsurfing International Inc. dans le New Hampshire.

Le site web est mis en ligne en 2004.

Jusqu’en août 2011, CouchSurfing est une organisation à but non lucratif, reposant entièrement sur les dons de ses membres. En 2008, les recettes s’élevaient à près de 800 000 dollars.

En 2011, le fondateur envisage la possibilité d’adopter le statut d’une société commerciale selon le droit américain. Couchsurfing International Inc. est fondée le 3 mai 2011 dans le Delaware. Le 25 août 2011, un communiqué de Casey Fenton annonce le changement de statut : CouchSurfing devient une société par action. L’organisation du New Hampshire Couchsurfing International Inc. est dissoute le 4 novembre 2011.

L’honnêteté de cette démarche est remise en cause au sein même de l’organisation : un groupe dans CouchSurfing « We are against CS becoming a for-profit corporation » (nous sommes contre la conversion de CS en société à but lucratif) compte en février 2012 plus de 3200 membres. Étant donné que le changement de statut a été accompagné d’une vente d’actions en la faveur des deux cofondateurs, ceux-ci sont accusés d’enrichissement personnel, en plus d’un manque de transparence à la communauté CouchSurfing.

Certains comparent désormais la politique de confidentialité de CouchSurfing à celle, controversée, de Facebook. Les inquiétudes de rapprochement entre les deux sites web se sont cristallisées quand Matt Cohler, un investisseur connu pour avoir été un des cinq premiers employés de Facebook, a investi à travers la société Benchmark Capital plusieurs millions de dollars dans CouchSurfing, et siège désormais dans son conseil d’administration.

La participation au projet CouchSurfing est libre et gratuite dans la limite de dix demandes d’hospitalité aux autres membres par semaine. Avant qu’elle ne devienne une société lucrative, le nombre de requêtes d’hébergement était illimité.

Le site propose une « vérification » de compte ad vitam pour un paiement de 54 € (en 2018). Cette vérification ôte la limite de dix demandes par semaine.

L’intérêt de ce service va au-delà du simple hébergement : c’est une possibilité de rencontres culturelles cosmopolites, à moindre coût, et sécurisées grâce à différents systèmes de recommandations.

VOUS COMPRENEZ ICI QUE PLUS LES GENS SONT IMPLIQUÉS PLUS LES SERVICES DEVIENNENT PAYANTS

ÉCONOMIE VERTICALE CONTRE ÉCONOMIE HORIZONTALE

Le texte plus haut sert à montrer un exemple du modèle économique derrière ces sociétés.

Vous comprenez que ces startups, ont un modèle économique basées sur un système horizontale qui est relativement récent et qui n’a rien à voir avec celui des Auchan, Pizza Hut et autre MacDo (bien que le système de franchise soit légèrement proche de ce modèle), Air France, Ikea, etc. D’ailleurs, il faut aussi rajouter Amazon, avec sa partie livraison*. C’est aussi le cas des transporteurs comme GLS et Chronopost.

Comprendre les limites de l’économie Verticale

Auparavant,  les acteurs principaux et actrices principales au sein de ces entreprises auraient été des salarié.e.s. Les conducteurs et conductrices d’Uber auraient eu un contrat de travail. Netflix aurait possédé une tonne de salarié.e.s pour créer, tourner, publier ses séries ce modèle économique était essentiellement basse sur la surproduction ou il fallait produire stocker avant de chercher à vendre ce qui demandait une grosse logistique et une forte mobilisation en ressources humaines.

* Il faut savoir que les livreurs et livreuses d’Amazon ne sont pas des salarié.e.s avec un contrat de travail. Ils et elles sont des indépendant.e.s et sont souvent payé.e.s à la tournée ou au nombre de colis livrés(commission).

Pour résumer :

Netflix : Fonctionne avec une communauté de créateurs et créatrices indépendant.e.s (ces personnes ne sont pas salariées de Netflix) qui délivrent des supports vidéos à une autre communauté.

YouTube : Fonctionne avec une communauté de créateurs et créatrices indépendant.e.s (Ces personnes ne sont pas salariées de YouTube) qui délivrent des supports vidéos à une autre communauté.

Uber : Fonctionne avec une communauté de conducteurs et conductrices indépendant.e.s (Ces personnes ne sont pas salariées de Uber) qui délivrent un service de transport à une communauté d’utilisateurs et utilisatrices.

Amazon : Fonctionne à l’aide d’une communauté de livreurs et livreuses indépendant.e.s (Ces personnes ne sont pas salariées d’Amazon) qui délivrent des colis aux client.e.s d’Amazon. Amazon fonctionne aussi grâce à ses vendeuses et vendeurs qu’il met en relation avec sa clientèle.

Airbnb : Fonctionne à l’aide d’une communauté de propriétaires indépendant.e.s (Ces personnes ne sont pas salariées par Airbnb) qui proposent des hébergements à une autre communauté (voyageurs et voyageuses par exemple).

Facebook : Fonctionne à l’aide d’une communauté d’utilisateur (Ces personnes ne sont pas salariées de Facebook) ils proposent des contenues en animant leur pages grâce aux publications, Vidéos, live, et chat qu’ils font à une autre communauté (folowers)

MODÈLE ÉCONOMIQUE DERRIÈRE CES PLATEFORMES

Ces nouveaux modèles économique, favorisés par l’émergence et l’essor des technologies de l’ère du numérique, sont regroupés sous l’appellation Économie collaborative.

Ces nouveaux modèles d’affaire, reposant principalement sur la mise en relation de demandeurs et d’offreurs grâce à une plateforme internet, donnent lieu à différents termes pour les désigner. On parle aussi bien d’économie collaborative que d’économie du partage ou encore d’ubérisation. Il convient de bien distinguer ces différentes notions qui renvoient à des réalités très diverses.

Et pour la partie de l’ubérisation :

L’uberisation s’inscrit de manière plus large dans le cadre de l’économie collaborative. Ce concept s’oppose en fait à celui connu depuis des générations, et particulièrement depuis les trente glorieuses, c’est-à-dire le monde fixe et réglementé du salariat.

Pour certaines de ces plateformes, prenons Uber, Airbnb et Amazon pour les vendeurs et vendeuses, leurs sources de revenu proviennent des frais facturés pour la mise en relation entre les différent.e.s acteurs et actrices du service.

Pour d’autres, comme YouTube, Netflix, Amazon pour la partie livraison, elles reversent une partie des bénéfices publicitaires ou issus des abonnements aux créatrices et créateurs ou une partie des frais de livraison payés par les client.e.s aux livreuses et livreurs.

POURQUOI ÇA SE DÉVELOPPE DE PLUS EN PLUS ?

Le New York Magazine a écrit que l’économie collaborative avait réussi en grande partie parce que l’économie réelle était en difficulté. Selon le magazine, l’économie collaborative réussit plus précisément en raison d’un marché du travail déprimé, dans lequel « de nombreuses personnes tentent de combler leurs lacunes en monnayant leurs ressources et leur travail de manière créative », et dans de nombreux cas rejoignent cette économie parce qu’ils ont récemment perdu un emploi à temps plein, et, y compris quelques cas où la modification de la structure des prix de l’économie collaborative a rendu leur ancien emploi moins rentables (par exemple, des conducteurs ou conductrices de taxi à temps plein qui auraient basculé vers Uber). Le magazine écrit que « dans presque tous les cas, ce qui pousse les gens à ouvrir leur maison et leur voiture à des étrangers, c’est l’argent, et non la confiance. 

Des outils qui aident les gens à avoir confiance en la gentillesse des étrangers pourraient pousser les participants hésitants dans cette ubérisation. Mais ce qui les a menés à adopter ces plateformes est en premier lieu une économie endommagée et une politique publique néfaste qui a obligé des millions de personnes à rechercher de petits boulots pour se nourrir. » (Cette explication du new York time est justifiable pour le marché Américain par pour le contexte africain)

Pour aller plus loin, il semblerait aussi que l’accès soit préférable à la propriété auprès des nouvelles générations.

En tant que modèle économique, l’économie collaborative suggère que l’accès aux biens et aux services peut devenir plus enviable que la propriété des biens.

Et l’usage d’Internet a rendu les choses beaucoup plus sociales. Ça a créé une génération de personnes qui ont commencé à faire quelque chose de différemment de ce qui était profondément ancré dans l’organisation de la société depuis plusieurs centaines d’années.

Popularisé par le livre de Rachel Botsman et Roo Rogers « Modèle:What’s Mine Is Yours: How Collaborative Consumption is Changing the Way We Live »

Ils disent dans le livre « grâce à L’économie collaborative qui est une activité humaine de pair à pair, qui vise à produire de la valeur en commun et qui repose sur de nouvelles formes d’organisation du travail et d’échanges.

Elle repose sur une société du partage, qui passe par la mutualisation des biens, des espaces et des outils, des savoirs (l’usage plutôt que la possession), l’organisation des citoyens en « réseau » ou en communautés et généralement l’intermédiation par des plateformes internet (à l’exception de modèles comme les réseaux d’échanges réciproques de savoirs) dont le fonctionnement « repose sur des algorithmes qui font de l’appariement entre différents acteurs sociaux ».

Ces personnes, ont commencé à préférer l’accès plutôt que la propriété. Au lieu de planifier leur vie sur le principe d’acquérir et de posséder davantage de propriétés et biens, les gens ont commencé à trouver un sens et une satisfaction à avoir accès à des choses et à interagir avec d’autres personnes au cours du processus.

QUELQUES EFFETS ET NON-DITS DE L’UBÉRISATION OU ÉCONOMIE COLLABORATIVE

  • Aux USA, le pourcentage de personnes âgées sur le marché du travail est passé de 20,7% en 2009 à 23,1 % en 2015, une augmentation attribuable en partie à la montée de l’économie collaborative.
  • Uber, Airbnb et d’autres sociétés ont eu des effets dramatiques dans certains domaines tels que la congestion routière et le logement. Eh, oui, il devient difficile de trouver un logement dans certaines villes pour les gens qui y travaillent ou résident à cause des nombreux logements achetés (ou loués) pour ensuite être listés sur Airbnb… et faire du bénéfice…
  • Les tarifs, dans un premier temps relativement bas, ont petit à petit été augmentésde sorte que les entreprises derrière ces plateformes deviennent rentables. Il n’est pas rare qu’elles aient travaillé à perte pendant plusieurs années. C’est toujours le cas d’Amazon, au passage. Ce qui dérange, c’est qu’une société comme Uber a créé sa réputation sur la base d’un message qu’on pourrait interpréter de cette façon : Proposer des prix abordables et justes à sa clientèle, contrairement aux tarifs pratiqués par les taxis.
  • Avez-vous réservé quelques nuits en Airbnb récemment ? Est-ce que les prix étaient plus abordables que les hôtels aux alentours ? tout ceci est moins visible en Afrique sachant qu’une simple nuit d’hôtel est facturée minimum 25000 FCFA.Qu’est-ce qui s’est donc passé entre temps ? Ces plateformes misent, dans un premier temps, sur un nombre d’utilisatrices et d’utilisateurs les fameux 0101010101. Une fois ce nombre atteint, et grâce à sa bonne réputation forgée sur des messages du type Le bon service ou produit au bon prix pour notre communautéces entreprises augmentent petit à petit leurs prix (ce n’est pas aussi simple, il y a des tas d’algorithmes derrière et des études sur la perception de la valeur du service par rapport au prix demandé qui sont faites…) et la communauté reste dans cet état de confiance légèrement aveugle et tenace.

En effet, et c’est normal, c’était réellement le cas lors du lancement de la plateforme. Mais les règles évoluent plus vites que la perception des personnes.

Donc, au final, on finit par payer ces nouveaux services plus chers que les anciens services traditionnellement proposés. Regardez le prix d’une course Uber. Regardez le prix d’une nuit en Airbnb…

On a bien conscience que la valeur ajoutée est parfois très importante et joue un rôle dans la perception du prix du service, comme dans le cas d’Uber qui permet de trouver rapidement et facilement un conducteur tout en connaissant le prix final à payer !

PROTESTATION CONTRE UBER

DEPUIS DE NOMBREUSES ANNEES S’estimant victimes de la concurrence déloyale des sociétés de service de voitures de transport avec chauffeur (VTC) du type Uber, les chauffeurs de taxis de plusieurs pays ont manifesté leur désapprobation en organisant des mouvements de protestation.

On pouvait lire ceci sur le site de la radio Prague International, « Les taxis pragois avaient protesté à l’aéroport international Václav Havel en apposant des autocollants sur les voitures de concurrents afin de dénoncer les pratiques des sociétés s’apparentant à Uber. Pour l’Association des chauffeurs de taxi, la situation est intenable et la municipalité de Prague ne fait rien pour trouver une solution. »

Les taxis reprochent notamment à ce type d’entreprises l’absence de licence pour exercer la profession, le fait que les véhicules utilisés ne sont pas identifiables comme des taxis et qu’ils ne se servent pas de taximètre.

QUE DIT UBER DANS TOUS CA ?

De son côté, Uber prétend être un simple service de covoiturage dans le cadre de l’économie collaborative. Selon les chiffres dévoilés récemment par la société, elle « collaborerait » avec environ 2 000 chauffeurs à Prague et avance le chiffre de 400 000 téléchargements en Tchéquie pour son application.

Sans oublier que depuis Octobre 2019  Uber s’est diversifié, et pas forcément là où on l’attendait le plus. Après les repas, les vélos et trottinettesle transport de marchandises et l’emploi, Uber a lancé une nouvelle division, baptisée Uber Money et dédiée aux services financiers. Avec une palette de fonctionnalités « offrant une valeur ajoutée à la communauté Uber. Pour le moment, Uber Money est uniquement ouvert aux chauffeurs Uber et livreurs Uber Eats américains.

Ceci explique que lorsque ces startups sont lancées elle charge à diversifier leur rentabilités avec des services interdépendants.

LA SOLUTION AUX GREVES DES TAXIS

Entendre les taxis faire la grève contre des travailleurs indépendants, est aberrant, pourtant il existe des méthodes très simples pour contrer de façon très simple UBER.

  • Que le syndicat des taxis mettent sur le marché une application similaire qui regroupe les taxis du pays, de la ville et la position des taxis en temps réel afin que l’usager qui veut un taxi sache en combien de temps un taxi sera à sa hauteur.
  • La tutelle de la profession de taxis doit être transférée, comme celle des VTC, au ministère des Transports. « Le régulateur en vient toujours à ménager le secteur qu’il contrôle. C’est aussi vrai avec le ministère des finances qui régule les banques, et du ministère de la Santé avec les industries pharmaceutiques »

ET L’AFRIQUE DANS TOUT CECI

(Cet article par exemple j’ai pris 4 jours pour le rédiger et je le poste gratuitement sur cette plateforme pour montrer à la communauté que je suis bien au fait de certaines situation et que je maitrise bien certains sujet ce qui vous poussera partager l’article pour inciter vos contacts à le lire et par la même ils en profiteront pour me suivre et voilà comment nous faisons vivre ce réseau grâce à nos efforts et ils en profitent pour vendre nos audiences).

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URGENT : Le prochain Tourisme entrepreneurial sera du 22 au 28 novembre 2021 dans un pays qui n’est divulgué qu’aux inscrits. Il sera au prix de ; Inscription 150 000 FCFA et frais de formation 1950000 FCFA.
 
Pour ceux n’ont pas la possibilité d’être au tourisme entrepreneurial nous vous proposons la dernière formation en ligne sur le négoce du 15 au 18 septembre au prix social de 1000 € question de vous dire merci.
 
Voir le compte rendu du derniere toursime entrepreneurial de ZANZIBAR ici https://www.startupane.com/dubai-a-zanzibar/
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Cet article a été largement influencé par un article recopié sur le site Quora

Ernest TCHAKOUTE (Coach Ben)

Douala redigé le 13/03/2021 à 12h23

ré-publié le 28/08/2021 — 16h18

 

Sources utilisées :

https://fr.quora.com/Quels-sont-certains-des-non-dits-sur-des-services-tels-que-Uber-Airbnb-YouTube-et-Netflix