Tant que nos Etats ne favorisent pas l’accès à la vraie ressource, nous ne bougerons jamais.
Nicolas Sarkozy, ancien président de la France, disait lors de son audition à l’Assemblée nationale le 19 mai 2023 : « Je vais vous dire une chose. L’Europe, de tous les continents du monde, est le continent le plus brutal, où il y a eu les guerres les plus sauvages. »
Lorsqu’on entend de telles paroles de la bouche de l’un des plus gros bourreaux du continent africain, on a qu’une seule envie: celle de remonter dans l’histoire de l’humanité.
On constate que la domination occidentale s’est toujours appuyée sur le contrôle la destruction et la soumission des peuples plus faibles.
Il apparaît également que les peuples qui ont véritablement conquis leur indépendance sont ceux qui ont lutté durement voir au prix de lourds sacrifices pour l’obtenir.
Ils (les occidentaux) ont vite compris que la lutte armée venait avec ses lots de problèmes et n’était qu’une source interminable d’autres problèmes et de complications, ils vont procéder à des méthodes plus douces, mais redoutablement et bien plus efficaces, car les peuples à soumettre s’autodétruisent tous seuls et c’est pour eux une économie énorme en hommes et surtout en munitions.
D’ailleurs, quand on regarde l’Histoire, on se rend compte qu’ils se sont donné tout le mal du monde pour nous imposer leur religion, leur éducation et la liberté d’expression
Curieusement, pour des raisons liées à leurs propres intérêts stratégiques, économiques et idéologiques, dans leur grand amour pour le continent, ils ont usé de toutes leurs forces pour freiner son industrialisation.
Pourquoi cette insistance sur ces points ?
LA RELIGION
– La religion est un moyen très efficace d’imposer une idéologie, car réfléchir sur le billet de la religion uniformise la pensée. Imposer la religion facilite le contrôle social, la loyauté à l’ordre établi et elle devient un outil très puissant de marginalisation des élites locales insoumises.
LA DEMOCRATIE
– En second point qui est la promotion et la diffusion de l’idéologie démocratique est un outil puissant qui sert à légitimer le pouvoir hérité de la colonisation et à masquer des formes de centralisation ou d’autoritarisme sous un vernis électoral ou constitutionnel.
Ce modèle « d’État moderne » reste dans certains pays comme un outil à la main des élites occidentalisées qui pour la plupart du temps sont souvent coupées des réalités sur le terrain.
LA LIBERTE D’EXPRESSION
– Maintenant, on en a trois la grande arme qui est la liberté d’expression, ils nous encouragent (pour ne pas dire forcent) à adopter la liberté d’expression comme valeur phare non pas dans le but de garantir un débat économique structurant, mais pour appuyer la diffusion de leurs propres normes (médias libres, pluralisme politique, liberté de choix) et permettre souvent de déstabiliser, critiquer ou mettre sous pression tout régime jugé non-aligné ou hostile.
Lorsqu’on comprend ceci, on est en droit de se demander, mais pourquoi freiner l’industrialisation du continent ?
L’accès à la bonne information par l’Africain est un véritable danger pour eux.
Pour donner suite à cette logique, ils feront semblant de nous apporter le savoir nécessaire pour la construction de nos Etats.
Avec un recul nécessaire, on comprend aisément que rien n’est jamais complet dans leur démarche. Beaucoup auront du mal à y croire – poursuivez la lecture pour mieux comprendre.
Ils apporteront beaucoup de choses, mais on s’attardera sur 3 points simples.
– L’ENSEIGNEMENT
Joseph Ki-Zerbo dit, je cite « l’éducation coloniale en Afrique est utilisée comme un instrument d’aliénation culturelle : elle prépare plus à servir la structure administrative et économique du colon qu’à développer un projet endogène ».
À l’introduction de l’éducation dans nos pays, l’offre éducative était volontairement limitée, quand l’éducation n’était pas orientée vers les filières littéraires elle s’attachait à l’enseignement technique : former dans un premier temps de grands orateurs, dans un second temps des assistants.
Dès le début, les contenus ont toujours été « adaptés » pour limiter l’esprit critique et empêcher l’ascension sociale ou l’initiative locale. On se retrouve avec des programmes taillés pour former de bons sujets, pas des citoyens libres ni des entrepreneurs.
Pendant qu’on avait besoin des spécialistes en montages des usines et industries, on formait sur le continent des jeunes qui deviendront des mécaniciens spécialisés dans le dépannage des équipements usagés de seconde main en provenance d’occident.
On ne nous montre pas comment créer des industries, mais on forme des techniciens pour la maintenance des équipements en panne.
– LES BANQUES
Lorsque les banques occidentales décident de s’installer en Afrique, ils (les Occidentaux) se rendent compte qu’ils ont passé le temps à former des mécaniciens et des littéraires. Se rendent compte que pour faire tourner leurs banques, ils auront besoin des collaborateurs. Ils décident alors de former des banquiers locaux. Curieusement, jusqu’à ce jour, la formation de ses agents est principalement orientée vers le développement de compétences commerciales et la vente de produits standards de la banque, plutôt que sur la maîtrise des vrais enjeux bancaires mondiaux qui sont les instruments financiers complexes ou l’ingénierie financière avancée.
Ils forment des banquiers qui ont pour mission de vendre des produits bancaires. Comme dans le cas de l’éducation, ils forment des mécaniciens et des littéraires au lieu de former des industriels. Ensuite, ils forment des banquiers au lieu de former des intermédiaires financiers (de façon étrange il n’existe aucune école de formation des intermédiaires financier en Afrique).
L’intermédiaire financier a pour rôle de chasser sur la scène mondiale les capitaux qui feront la différence, il recherche en permanence des investisseurs privés, des privates equitys, des fonds souverains, des fonds d’investissements, des familly offices, ou des clubs d’investisseurs. En somme, il cherche toutes les institutions prêtes à mettre de l’argent frais sur le marché dans le cadre de financer des projets.
L’intermédiaire financier est bien plus qu’un simple contact, il a une bonne connaissance des instruments financiers en fonction du type de projet, il est votre véritable guide. Selon la nature de votre projet, il saura vous orienter vers l’outil le plus adapté : les KTT, les SBLC, les Bonds, le financement par equity, le leasing, les fonds souverains, le loan, et bien d’autres options. Chacun en fonction de ses besoins.
C’est là où réside la grande différence entre un intermédiaire financier et votre banquier habituel. Non seulement votre banquier, ne sait pas de quoi il est question, quand on parle de ces mécanismes sophistiqués, mais son objectif principal reste la vente des produits et services de sa propre entreprise, car il a des bonus sur chaque vente.
Vous comprenez pourquoi nos entreprises auront toujours du mal à rivaliser avec celles qui évoluent sur des marchés où l’intermédiaire financier est la norme. C’est une question d’accès à la bonne ressource d’information, au bon prix.
LA LIBERTÉ D’EXPRESSION
Comprenez ceci, on vous donne une éducation de base sur la mécanique et non sur l’industrie, on vous forme à être des agents commerciaux des banques sans vous montrer comment être des intermédiaires financiers ensuite, on vient vous former à la littérature, un enseignement basé sur « l’argumentaire » qui dit argumentaire ne dit pas forcément « fait ».
Vous pouvez mentir, flouer, tromper du moment où vous avez des arguments les faits deviennent insignifiants. Quand toutes ces conditions sont réunies, ils vont créer des conditions pour nous maintenir à jamais en incitant voir exigeant à nos gouvernements l’adoption de la liberté d’expression comme valeur phare et outil principal de la démocratie.
Il faut savoir que ceci est très bien calculé, car le but de cette liberté d’expression, n’est pas de garantir un débat économique structurant, mais plutôt pour appuyer la diffusion de leurs propres normes (médias libres, pluralisme politique, liberté de choix) ce qui permet à déstabiliser, critiquer ou mettre la pression sur tout régime jugé non-aligné à leurs exigences ce qui ouvre de façon subtile la voie à l’accès aux ressources stratégiques qu’ils veulent dominer.
On aura la même chose avec le commerce international, ils nous montreront comment faire le commerce international en prenant soin d’occulter le négoce qui est un puissant mélange de commerce international de finance, d’intermédiation-financière, de logistique, de droit international et bien d’autres.
Pour mieux comprendre le texte, il faut activer son esprit critique et se demander : pourquoi malgré l’adoption de toutes ces théories et principes qu’ils nous ont apporté et continuent de nous apporter, nous ne progressons pas et avons l’impression plutôt de régresser ?
À la suite de cette interrogation, vous conviendrez que si nous ne sortons pas des sentiers battus nous sommes condamnés à y vivre encore des siècles.
C’est cette indignation face à toutes ces choses qui nous a poussé, malgré tous les risques et les menaces encourues, à lancer des formations dans le négoce des matières premières. Aujourd’hui nous sommes fiers de toute cette armée de négociants que nous avons formé qui font des merveilles à travers le monde.
C’est toujours après cette indignation que la quasi-totalité de ceux qui, aujourd’hui, parlent du négoce sur le continent que ce soit dans des formations, lors de colloques, des séminaires, dans des dîners galas, ou même parmi nos dirigeants, – ne sont que des simples imitateurs ou des suiveurs, inspirés par notre refus de la fatalité. Et nous en sommes fiers.
Dans cette même dynamique et après une observation minutieuse de notre écosystème nous avons constaté avec regret, toutes les difficultés que traversent nos entreprises au quotidien pour accéder aux marchés réels des financements ou avoir accès à certains fonds. Nous avons décidé de mettre à la disposition du grand public une formation unique spéciale et élitiste dans le domaine de l’intermédiation financière.
Cette formation est une occasion unique de faire partir d’un réseau élitiste d’intermédiaire financier africain qui se met sur pied à travers le monde.
Je suis toujours amusé quand les banquiers ou financiers me présentent des plans financiers bidons et obsolètes et pensent m’impressionner.
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Si vous venez de me découvrir, je m’appelle TCHAKOUTE Ernest
Je suis un entrepreneur multicassettes négociant de matières premières, et intermédiaire financière.
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Grâce à ce programme, nous avons créé le plus grand réseau d’intermédiaires financiers africains au monde.
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Douala le 10/11/2025 – 10h08

Lors de cette formation vous apprendrez
1 SESSION 1 : VUE D’ENSEMBLE – SUR L’INTERMÉDIATION FINANCIÈRE
2 SESSION 2 : ÉTUDE COMPLÈTE DES DIFFÉRENTES LETTRES DE CRÉDITS
3 SESSION 3 : MONÉTISATION DES ACTIFS ET MULTIPLICATEURS
4 SESSION 4 : FINANCE VOLATILE
5 SESSION 5 : QUESTIONS-RÉPONSES EN DIRECT – CLARIFIER ET ÉLABORER UNE STRATÉGIE
6 SESSION 6: DIFFÉRENTS TYPES DE GARANTIES PARTIE 1
7 SESSION 7: DIFFÉRENTS TYPES DE GARANTIES PARTIE 2
8 SESSION 8 : QUESTIONS-RÉPONSES EN DIRECT – STRATÉGIES AVANCÉES
9 SESSION 9: SÉCURISATION DE PAYEMENT PAR TELEX
10 SESSION 10: ASSURANCE
11 SESSION 11: DIFFÉRENTS TYPE DE PREUVE DE PAYEMENT
12 SESSION 12: DIFFERENT S TYPE DE SERVICE ADVICE
13 SESSION 13: DIFFÉRENTS TYPE DE FONDS ET SERVICE ANNEXES
14 SESSION 14: DIFFÉRENTS TYPE DE DOCUMENT DE PROTECTIONS DE BANQUES
15 SESSION 15: DIFFÉRENTS TYPES DE LETTRE DE CONFIRMATION BANCAIRE
16 SESSION 16 : TECHNIQUE DE SECURISATION DE SES COMMISSIONS
17 SESSION 17 : MARKETING ET STRATÉGIE DE COMMUNICATION
18 SESSION 18 : TECHNIQUE DE RECHERCHE ET DE POSITIONNEMENT STRATÉGIQUE
19 SESSION 19 : INTELLIGENCE ÉCONOMIQUE
20 SESSION 20 : INTELLIGENCE CONCURRENTIEL
21 SESSION 21 : INTELLIGENCE MARKETING
22 SESSION 22 : INTELLIGENCE JURIDIQUE
23 SESSION 23 : INTELLIGENCE STRATÉGIQUE
24 SESSION 24 : REMISE DES DIPLÔMES ET PARCHEMIN