Je suis tombé sur une publication dans un groupe whatsapp ou on annonçait avec fierté comment les médecins indiens viendront au Cameroun traiter des personnes atteintes de certaines maladies dites rares. Quand j’ai vu l’engouement avec lequel les membres du groupe se lançaient à la demande d’information, comment certains étaient subitement les ambassadeurs autoproclamés de ces gens, j’ai été submergé par un double sentiment de tristesse. Oui, certains trouveront en cette idée une bonne chose de recevoir des médecins qui viendront en Afrique soigner nos frères, sœurs, épouses, époux, enfants, amies, malades.
Nos frères sont si désespérés par de nombreuses maladies et n’ont aucun espoir au point où le sauveur ne peut venir que d’ailleurs quelle tristesse !
Cette situation te fait comprendre que l’Africain est un peuple abandonné par ses dirigeants. Une élite qui dépense de l’argent du contribuable, ou il y a de la corruption, et ce peuple n’est jamais partie prenante. Ils pensent plus à leurs petits intérêts qu’aux intérêts du peuple.
Ils sont (ce peuple) semblables aux orphelins dont on ne fait recours uniquement que lorsqu’on a besoin de leurs voix aux urnes et après, ils sont livrés à eux-mêmes, personne pour les protéger des prédateurs extérieurs.
Pour mieux me comprendre, il faut se poser une question qui change tout.
Est-ce que ces médecins indiens peuvent partir en Italie, en Chine, en Australie, à Cuba, en Argentine, pour ces genres de missions ? La réponse évidente est sans équivoque, non.
Si la réponse est négative, demandons-nous pourquoi c’est toujours en Afrique qu’ils viennent ?
Ces voyages n’ont rien d’humanitaire, ils ont des visées beaucoup plus grandes qui relèvent d’une stratégie expansionniste qu’autre chose, de domination progressive et respecte une certaine logique.
On vous dira également qu’en Inde chaque année 1,4 millions d’enfants meurt avant l’âge de 15 ans. On a 61 millions d’enfants victimes de malnutrition, ça met le pays parmis les pays en tête de taux élevé de mortalités infantiles.
Sauf que comme dans notre habitude, on ne se pose pas les bonnes questions. Personne ne se demande pourquoi ils ne se soucient pas de toute cette pauvreté dans leur pays et sont épris d’humanité. Ils veulent venir sauver les pauvres camerounais qui souffrent et meurent de maladie rare.
HARD POWER
Le hard power qui se traduit par « puissance dure », c’est la capacité qu’a une nation à influencer le comportement d’autres acteurs par la coercition, voire par la violence, et imposer ses vues afin d’obtenir de ces nations des décisions qui lui seront favorables, principalement aux moyens économiques et militaires.
En un mot, si on n’est pas du même avis ou si vous n’êtes pas de mon côté, je vous bombarde et vous soumets par force à mon idéologie.
SOFT POWER
C’est une stratégie qui consiste à coloniser un peuple sans violence, une dynamique inscrite sur le long terme et développée par un pays ou acteur envers un Etat, une organisation, un groupe de personnes, dont l’objectif est de modifier le regard ou la perception et les comportements.
Pour comprendre une action qui relève du soft power vous verrez que celui qui fait passer son influence va utiliser des méthodes non-coercitives (structurelles, culturelles, ou idéologiques) ils le font sous forme de rapport gagnant-gagnant par la cible. c’est une manœuvre qui consiste à s’appuyer sur son image, sa réputation, sa gastronomie, son prestige ( économique, social, culturel, militaire, et comme dans ce cas scientifique).
SMART POWER
Le smart power est un savant mélange de hard et de soft power. Une stratégie qui incarne et traduit cette vision et ces objectifs. L’administration Obama a dès son arrivée aux affaires, mis en avant cette conception nouvelle de sa politique étrangère (re) définie par le « smart power », un pouvoir « intelligent », nouvelle et habile combinaison, devant assurer à l’Amérique la restauration et le maintien de son leadership. Il développe cette stratégie pour se débarrasser et se démarquer de l’image négative qu’avait laissé son prédécesseur, George W. Bush, dont les deux mandats avaient été caractérisés par un interventionnisme et un unilatéralisme forcenés.
DÉBUT DU SOFT POWER INDIEN
Pour le faire, ils commencent à la fin des années 70, débuts année 80, par la modélisation des schémas de pensées en envoyant des films dit « INDOU » en Afrique. Et ces films avaient une particularité, ils étaient fait de comédie, mélodrame et music. Un savant mélange pour séduire et captiver sur le plan émotionnel les cinéphiles, les gens de ma génération et celle de mes parents connaissent presque tous les films indou du nom de « tery kassam »
Cependant notons que les premiers films indiens commencent en 1913 avec des films muets.
Pendant que les américains voulaient imposer le « American way of life » au reste du monde, avec un brave (rambo, commando, robocop) qui sauve le monde de la destruction, ce brave qui va dans des régions éloignées lutter contre les injustices ou sauver leurs alliés.
Notons que le couple Cinéma Américain – CIA se crée dès la seconde guerre mondiale, pour promouvoir la bonne image du soldat, du héros, remonter le moral des troupes, afficher une vision idyllique de la vie et du futur américain, pour les américains d’abord, et pour le monde ensuite.
Une façon subtile de modifier la perception de l’opinion publique des pays cibles sur le pays influenceur. il faut noter que c’est grâce à la soft power que les USA gagnent la guerre froide, les films américains ont beaucoup contribués.
Pour bien me comprendre vous verrez que dans leur film, le brave justicier était toujours un acteur de nationalité américaine et le méchant était soit Chinois, Russe ou Allemand de l’Est. Ces pays qui étaient à l’époque considéré comme les pays du bloc communiste. Dans un futur proche, je vous expliquerais tout ceci dans le cadre des formations sur l’intelligence économique; programme sur lequel nous travaillons en ce moment. car le peuple africain commet trop d’erreurs par manque de ces connaissances vitales et stratégiques.
Les indiens quant à eux, ne pouvant influencer durablement l’opinion américaine, car les autorités protègent le peuple par des mécanismes des normes et certifications (les USA fixent des normes de ce qui sera diffusé ou donné à leurs population, lorsqu’ils ne le font pas ils ont un contre poids si puissant qui efface totalement le programme intrus).
Par manque de régulateur sérieux, et quand bien même il en existe les personnes en charge de contrôler, sont si corrompu que pour leurs petits intérêts ils laissent tout passer, exposant ainsi tout un peuple et leur propre famille à la merci des prédateurs.
C’est ainsi qu’ils se retournent vers l’Afrique, un continent qui n’a aucune norme, aucune réglementation, saufs celles rédigées par les autres et mal adaptées chez-nous.
Le triste destin de l’union soviétique, anti-soft power par définition, confirmerait l’idée selon laquelle, plus que de miser sur les attributs traditionnels de la puissance, c’est du côté de la capacité d’influencer les autres acteurs qu’il faudrait chercher la bonne formule.
Dans leurs stratégies de montée en puissance, sachant que les pays les plus développés s’appuient fortement sur leurs capacités de soft power, comme il est dit plus haut, les Etats-Unis ont ouvert le bal, et les pays occidentaux ont tous suivi, bientôt accompagnés par le Japon. Plus récemment, c’est la Chine qui a officialisé, en 2007, une trajectoire dans laquelle elle s’est engagée depuis plusieurs années, et de façon très nette après 2002 avec l’arrivée au pouvoir du Tandem Hu Jintao – Wen Jiabao. Les succès chinois sont spectaculaires.
Il faut noter qu’après les années 80, se rendant compte que les USA sont entrain de créer des blocages dans leur stratégie, ils font une légère pause à l’exemple de la Chine, ils développent le côté académique en formant des ingénieurs et scientifiques dans plusieurs domaines. C’est pourquoi aujourd’hui l’Inde est la première puissance en software (partie non-matériels ou logiciel des ordinateurs et la Chine la première puissance en matière d’intelligence artificielle) ensuite, ils travaillent plus le côté industriel, car sans une économie forte, il sera difficile de rivaliser avec les autres puissances.
Après cela, ils déploient une nouvelle stratégie de soft power et subdivisent le monde en zone d’influence, ainsi, ils pénètrent l’occident par une popularisation croissante de la cuisine indienne, via la vulgarisation des restaurants indiens, vous verrez dans tous les pays du monde des restaurants du genre Shivas restaurant, Krishna restaurant, Tandour restaurant, des symboliques qui ont un rapport avec leur spiritualité hindouiste, car l’Inde est un pays avec une multitude de religion après l’Indonésie, elle a la deuxième population la plus musulmane au monde.
Les Indiens de toute religion confondus se savent les héritiers d’une grande civilisation, ancrée en terre indienne depuis des millénaires et marquée du sceau d’une puissante originalité, dont l’hindouisme est d’évidence un marqueur essentiel. C’est pourquoi peu importe le pays où ils se trouvent et quelle que soit leur appartenance religieuse, ils conservent leur culture, il sera rare de voir un restaurant indien détenus par un musulman indien porter le nom de « mohamed indian foot ».
Après les restaurants, ils pénètrent l’occident par le Yoga, dans presque tous les pays occidentaux, il y a des temples de Yoga. Par contre en Afrique, on ne trouve pratiquement pas cette pratique, parce qu’ils comprennent que le peuple africain est déjà encerclé sur le plan religieux, c’est pourquoi ils pénètrent facilement le monde occidental, car c’est un monde plus cartésien ou la population cherche plus l’accomplissement de soi (voir la pyramide de Maslow), d’où cette pénétration plus rapide dans cette sphère du monde.
Dans ce contexte, l’Inde se montre forcément intéressée par le développement de son propre soft power. En observant la chine (deux pays qui jouent dans la même cour), il constate que la chine a compris que pour assurer sa place dans le concert des grandes puissances, il lui faut soigner son image, et ainsi séduire. Une stratégie qui s’avère payante particulièrement en direction des pays africains, et la raison en est simple : Pékin investit des sommes considérables en matière d’échanges, de promotion de sa culture (nous avons des centres Confucius, des Chinas town partout en afrique, ensuite la chine offre des bourses d’études aux étudiants africains qui vont dans un pays où l’enseignement se fait en mandarin) et de sa diplomatie.
Peu importe dès lors que la Chine soit encore une dictature, et que la question des droits de l’homme, dont on pourrait à première vue penser qu’elle est un élément presque essentiel au soft power, lui fasse défaut.
Dans le cas de l’inde, sachant que le cinéma est un grand vecteur de soft power, il injecte beaucoup d’argent dans le Bollywood qui vient de l’ancien nom de la capitale indienne Bombay actuel Mumbai. Ensuite, ils procèdent à l’envoi des films indiens en direction de l’Afrique. Ce qui sera suivi de l’ouverture des magasins indiens dans les endroits stratégiques dans nos centres commerciaux et marchés.
On se retrouve avec une population africaine pas du tout préparée et personne pour les mettre en garde contre cette nouvelle guerre douce, encore plus virulente le hard power (force brute).
Vous comprenez que l’envoi des médecins en Afrique est dans la dynamique qui consiste, à travers la base de la société, à diffuser des valeurs dans l’espace public, au moyen de vecteurs divers pour installer une hégémonie culturelle.
Cette approche est spécifique à tous les pays du monde qui ont une stratégie de conquête.
Ces éléments, qu’on observe, sont des manœuvres de la part des nations consistant à façonner progressivement les esprits aussi à partir des plus hauts échelons de la société.
Ainsi, d’un mouvement initié dans un premier temps par les élites d’une nation vers ses propres masses dans une perspective de cohésion précisément de la nation autour de repères communs, se noue une nouvelle dynamique, à l’initiative d’une puissance étrangère pour façonner à ses valeurs les élites du pays cible comme ses masses.
Cette méthode consiste donc à prendre en étau une population, à l’enfermer dans des encerclements cognitifs.
Elle se décline en quatre principaux axes :
1- LA DIFFUSION DU « INDIAN WAY OF LIFE »
La puissance véhiculée par des images bien soignées de leur mode de vie. En ventant le côté angélique de cette vie, ils pousseront (par des financements) les réalisateurs des films africains à produire et diffuser des films africains où l’autoflagellation, l’automutilation, l’autoderision, la promotion de la haine de soi, ou la destruction de la culture africaine est en avant, dans certains cas, ils utiliseront une stratégie d’éloignement des fondateurs.
Comment ça se passe ? ils viennent dans une entreprise spécialisé dans la promotion des films africains et prennent des actions en injectant beaucoup d’argent. Ensuite, ils utilisent des techniques mises sur pied par les américains pour éloigner les fondateurs et idéologues du projet, en montant les fondateurs les uns contre les autres, afin de les pousser tous progressivement à la démission. Ensuite, ils se retrouveront actionnaires majoritaire et nommeront l’un des leur à la tête de la société de production cinématographique. Ceux qui sont avertie ne comprendront jamais pourquoi cette maison de cinéma ne produit que des films qui ont pour vocation de dévaloriser ou ternir l’image du continent.
Il arrive dans certains cas ou après avoir éloigné les fondateurs, ils finissent par fermer l’entreprise et créer une nouvelle qui devient leader du marché. Nous sommes souvent étonnés que dans un pays les acteurs principaux d’un secteur hautement stratégique soient détenus par des étrangers : c’est le pouvoir du soft power.
Dans certains cas, lorsqu’ils font des prêts à un Etat africain, dans l’accord, ils fixeront des règles non-négociables et exigeront à l’Etat en question d’imposer au ministère de la Culture de faire diffuser un certain quota de leur film dans les chaînes de télévision locales. Les signataires sachant qu’ils vont détourner cet argent, le signent sans regarder ou évaluer les conséquences d’un tel acte sur l’avenir de la nation.
Il faut savoir que les USA, ont utilisé cette technique après la seconde guerre mondiale dans le cadre du plan marshall européen. Je vous explique ça en conclusion.
Aujourd’hui, nous tolérons et disons à qui veut l’entendre que les Indiens sont forts dans la magie au point ou si une personne qui ne trouve pas de solution spirituelle en Inde, est dans le désespoir total. On tolère et accepte les pratiques magiques des Indiens et rejetons avec la dernière énergie la moindre pratique même traditionnelle propre à nos cultures.
2- LE RE-FACONNAGE DES IDENTITES
Nous ne trouvons aucun inconvénient à donner un nom du genre raja, Sasha, Shasha, Shopra, Askha (des noms indiens) à nos enfants, voilà comment un simple film va créer un remodelage de la perception de notre identité.
3 – LA CAPTATION DES ELITES,
Nous assistons parfois à nos leaders qui vont en Inde et s’habillent en vêtements traditionnels indiens. Une fois que le leader le fait, la population comme c’est dit plus qui est facilement manipulable suit les pas de son leader et on se retrouve avec une population qui est prête à laisser tomber son style vestimentaire, culture au profit de celui du pays pratiquant le soft power.
4 – LA CREATION D’UN CLIMAT D’AFFAIRE PROPICE AUX PRODUITS INDIENS
Sachez que tout ce qui a été cité plus haut à un seul et unique but : avoir une puissance économique forte et solide ensuite asseoir son influence sur des générations afin qu’elles ne manquent de rien.
Pour cela voyant que les européens organisaient des sommets france-afrique.
Après le sommet, Chine-Afrique tenu en chine en novembre 2006, l’inde n’était pas en reste, elle a également tenu son premier sommet africain du 4 au 8 avril 2007. Il n’en fut pas moins important. New Delhi entendait ainsi montrer au monde en général et à l’Asie en particulier qu’il faut désormais compter avec les investissements (publics et privés) indiens. L’opération visait aussi à séduire les dirigeants africains, qui demeurent déterminants dans les choix des investisseurs.
CONCLUSION
À la lecture de tout ceci, vous comprenez que recevoir des médecins obéi à cette logique de soft power, car une fois que vous les acceptez favorablement vous avez une perception positive.
Pourtant on est en train de vous faire une guerre silencieuse. L’époque du hard power où on bombardait les gens et allait en guerre est révolu. L’exemple de la Russie et de l’Ukraine est palpable : Poutine nous a démontré qu’il ne maitrise rien du soft power. C’est pourquoi, il veut absolument résoudre tous ces problèmes par la force. Après l’introduction de la Russie en Centrafrique, la France est passée en action en appliquant le soft power, par le canal des medias et journalistes tel que Alain Foka, ce dernier dans sa communication a utilisé une technique de manipulation dite « la fabrication du ras- le- bol » et aujourd’hui lorsqu’on observe bien la présence de la Russie au Mali, ce dernier s’est retrouvé propulsé sur le devant de la scène et ainsi donner une occasion aux medias de surmédiatisé les événements au point d’expulser l’ambassadeur de France au Mali. On est face au hard power, si la Russie était apte au soft power, elle pouvait créer des conditions pour rendre la présence française au Mali obsolète.
On est tenté de croire que partout où la Russie passe, le pays sombre dans le sous-développement. Nous avons le cas de la Guinée qui avait accepté le communisme avec l’ex-URSS et finalement le pays a sombré. Certains diront que Sekou Touré était nationaliste, mais est ce que après les Français n’ont pas réussit à placer leur pions au pouvoir sans faire le moindre bruit ?
Il me semble que la Russie actuelle n’a pas tirée des leçons des erreurs du passée et pense que tout se règle par la force. Ce texte démontre à souhait comment le soft power est aussi puissant que la hard power , encore mieux et au-dessus nous avons le smart power.
C’est cette stratégie que les USA ont utilisé en France, dans les années 40. Après la seconde guerre mondiale, les pays européens étant les plus touchés économiquement ont besoin de soutien pour relever leur économie. Sachant qu’ils n’existent pas d’amitié entre les Etats, les USA, dans le cadre des négociations du plan marshall, la France obtiendra l’annulation de la dette de guerre de 2mrds$ puis l’accord d’un nouveau prêt de 600 m$.
Ensuite les USA exigent à la France de l’ouvrir son marché et le droit à l’accès de l’industrie cinématographique américaine sur le sol français. Le 28 mai 1946, les accords autorisant l’ouverture du marché sont signés par Léon Blum, envoyé spécial du gouvernement français et James Byrnes, secrétaire d’état du président américain Truman.
Ces accords rétablissent le droit d’entrée des films américains en France après l’interdiction faite durant l’occupation. Ils instaurent un quota minimum d’importation et de visionnage, à savoir sur une période de 3 mois, soit 12 semaines. Les Français ont droit à diffuser leurs films dans les salles françaises que 4 semaines par trimestre dont les Américains avec sur 12 semaines, 8 pour diffuser leurs films et vendre allègrement leur culture au peuple français.
Dans un premier temps, 108 films américains seront importés par an, c’est dire qu’en une année les Français avaient droit à eux seuls 2 films par semaines avec 4 autres en bonus.
Et pour enfoncer le clou encore plus profond dans l’accord, ils exigent que les studios américains soient obligés d’investir dans la rénovation des équipements de réalisation et dans la production cinématographique.
Autrement dit même si les Français avaient à un moment l’intention de laisser tomber le secteur cinématographique en décrépitude, les Américains disaient niet « nous avons l’obligation de renouveler les équipements », une façon de te maintenir prisonnier à vie.
Et cette situation va profondément bouleverser le secteur cinématographique français, et depuis ce temps la France n’a plus jamais réussit à sortir la tête de l’eau et à s’imposer sur le plan cinématographique mondial.
Suite à ce qui est dit dans ce texte, c’est pourquoi après avoir regardé les films indiens, avoir été soigné par des Indiens fait en sorte que nous devenons redevable envers eux.
Au point où délaisser la boutique de notre propre frère pour aller acheter ou donner notre argent à un Indien devient presque banale. Et progressivement, on peut voir les Indiens s’accaparer de façon subtile l’économie africaine devant nos yeux et nous ne réagissons pas…
Par contre s’ils étaient venu avec le hard power personne ne se dirigerais vers une boutique indienne, on aurait des manifestations anti Inde à travers nos pays.
MON CONSEIL
Gardez toujours à l’esprit qu’il n’existe aucune amitié entre les peuples, rien que du Business
Chaque fois où vous verrez un autre peuple venir vers nous avec un visage angélique demandez-vous toujours ce qu’ils nous cachent et que gagnent-ils en retour dont personne n’est au courant ?
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Ndoungué le 08/03/2022 — 07h34
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