Regardez bien ces individus que nous trouvons au premier abord dissemblables. Pourtant, ils sont de la même famille, et tous d’origine noire. Les résultats des expériences sur l’ ADN ont été formels.Rappel : Les îles Andaman sont un territoire de l’Union indienne situé au sud-est de l’Inde, dans le golfe du Bengale, au large des côtes birmanes. Des tests génétiques ont permis de constater que les Andamanais, population considérée par les scientifiques, comme la plus ancienne vivant sur la planète sont porteurs de l’haplogroupe D du chromosome Y , haplogroupe rare qui serait apparu en Afrique de l’Est. Les porteurs de cet haplogroupe D,  à partir donc de l’Afrique de l’Est, entre 50 000 ans et 70 000 ans, auraient migré le long des côtes de l’Océan Indien pour s’installer dans les îles Andaman, en Indonésie, dans l’archipel japonais, en Sibérie, en Asie centrale, et finalement au Tibet.

Les Andamanais font partie de la population négrito, caractérisée par une petite taille, une  peau noire et des cheveux crépus.

Retrouver la trace des noirs en Chine est une opération de longue haleine, tant les  gouvernements et les scientifiques chinois s’échinent  à occulter les caractéristiques négroïdes de squelettes exhumés lors de fouilles archéologiques. Car dans ce pays aux 56 minorités ethniques, en dépit des brassages incessants de populations établis dès la préhistoire,  l’archéologie est un important vecteur de propagande.

Les trois premières dynasties sont établies comme suit, sans référence à un substrat génétique noir.

–        dynastie Xia ( 2205-1766 avant J-C)

–        dynastie Shang ( 1700-1050 avant J-C)

–        dynastie Zhou ( aurait pris le pouvoir au XI ème siècle vers 1046 avant J-C)

H.IMBERT, anthropologue, dans son ouvrage «  Les Negritos de Chine  »  Imprimerie d’extrême-orient, dés 1923, livrait ses conclusions après des années d’études. Selon lui, les races négroïdes ont peuplé à un moment donné tout le sud de l’Inde, l’Indochine et la Chine.

Il indiquait que dans la première histoire de la Chine, plusieurs textes dans les livres classiques parlent de ces noirs minuscules. Ainsi le Tcheu-Li composé sous la dynastie de Tchéou ( 1122- 249 avant J-C) donne une description de ces habitants à peau noire et huileuse.

Le prince Liu-Nan décédé en 122 avant J-C parle d’un royaume de noirs minuscules dans le sud-ouest de la Chine. La partie inférieure de la face de l’empereur Pu-Yi du Mandchoukouo, descendant direct des dirigeants mandchous de la Chine, est négroïde.

La présence de noirs en Chine est attestée jusqu’à 1900. La dernière vague d’épuration ethnique semble être intervenue lors de «  La guerre des Boxers » .Ces guerriers redoutables, membres de sociétés secrètes, et pratiquant les arts martiaux, s’opposaient à la pénétration coloniale en Chine. Ils  sont abandonnés par l’Impératrice, et tous exécutés. Les survivants se réfugient au Tibet.

Au Japon, les théories accréditant « une race nippone » ont été facilitées par la nature acide des sols,  En effet, alors que le début du peuplement du Japon remonte au début de la dernière période glaciaire, il y a 100 000 ans, lorsque l’archipel était en contact avec le reste du continent, aucun squelette n’a été conservé ( Histoire du Japon : des origines à nos jours, Edition Hermann, Paris, février 2010).

En ce qui concerne la politique japonaise de préservation ethnique, on peut évoquer par exemple  l’époque d’EDO ( 1639- 1854), lorsque l’archipel nippon était fermé aux étrangers et que seuls les Hollandais étaient autorisés à résider dans leur comptoir commercial de l’île artificielle de Dejima près de Nagasaki.

Les avancées de la science moderne ont fait pourtant exploser le déni scientifique et anthropologique, déni opposé par les milieux officiels à l’évidence d’une origine africaine du peuplement de notre Terre.

Les tests pratiqués sur les populations certifient que la fréquence la plus importante des lignées D -présente donc chez les Andamanais-  se retrouve chez les Tibétains ( 50 % ),  et chez les Aïnous du Japon ( 90 %).

D’après ces mêmes tests génétiques, une part non négligeable des japonais ( environ 35 % ) auraient une origine aïnoue, ce qui signifie que des populations aïnoues ( ou génétiquement apparentées à ces dernières ), ont été assimilées au sein du peuple japonais (1).

Les Aïnous représentent une population aborigène vivant dans le Nord du Japon et à l’extrême-est de la Russie. Un aïnou sur 8 possède aussi des caractéristiques de l’haplo-groupe C3 qui est le plus commun parmi les populations de l’extrême est de la Russie et parmi les populations de Sibérie, ce qui laisse supposer un brassage génétique avec ces populations.

Runoko Rashidi dans Histoire millénaire des Africains en Asie ( Editions Monde global, 2005, traduit de l’anglais par Maurice Akingeneye), va encore plus loin. Il ne se contente pas d’affirmer que les asiatiques viennent d’Afrique. Pour lui, les premières civilisations du Japon, de Chine, d’Angkor ( au Cambodge), ont été fondées par les Noirs.

Prenons les grandes civilisations d’Asie du Sud-Est  que sont Angkor au Cambodge et aussi Champa au Vietnam.

Les kmers, population d’Angkor, sont décrits dès 1923, par l’anthropologue de l’université d’Harvard, Roland Burrage Dixon comme « ( marqués ) par une taille distinctement petite, une peau foncée, des cheveux bouclés voire cheveux crépus, un nez large et des lèvres négroïdes épaisses ».

Quant à sa rivale, Champa, il s’agissait d’un grand royaume de noirs sur les côtes de l’Asie du sud-est, au centre du Vietnam.

Dès 192, les chroniqueurs chinois le désignent par «  LIN-YI », ce qui signifie la terre des hommes noirs.

Pour Runoko Rashidi, le meilleur exemple de l’influence des noirs sur les civilisations les plus remarquables de l’Asie Antique, est celui du général nègre du Japon, Sakanouye Tamuramaro. Ce guerrier est devenu dans l’histoire japonaise ancienne le symbole de la vertu militaire. L’auteur fait alors référence à Cheikh Anta Diop, dans Nations Nègres et culture, qui soulignait cet énigmatique proverbe japonais : Pour qu’un samouraï soit courageux, il faut qu’il ait un peu de sang noir ».

Pourtant le plus ahurissant selon nous est le fait que les savants de l’époque coloniale avaient admis l’origine africaine des peuples asiatiques. La revue de la société d’anthropologie en 1871, avait constitué une commission spéciale chargée de dresser un rapide inventaire sur les races qui occupaient la vallée du Mékong. ( Revue de la société d’anthroplogie Hamy- année 1872- Vol 7).

Elle rapporte ce que les anthropologues de l’époque savaient de l’extension de la race négrito.

Son étude a pour but, indique-t-elle, de « résoudre le problème de l’extension septentrionale d’un groupe dont les éléments dissociés par des causes qui nous échappent encore, semblent attester qu’à une époque où le relief était tout différent de ce qu’il est aujourd’hui, la race qu’ils représentent a peuplé une vaste étendue de ce qui était alors l’extrême Asie ».

Le rapporteur HAMY souligne que Hombron croyait «  que les races nègres forment partout la couche la plus ancienne des populations humaines, et dans son ouvrage -L’homme dans ses rapports avec la création-, il émet l’opinion que des noirs voisins de ceux des Philippines avaient d’abord habité une grande partie de l’Asie orientale et de la Chine en particulier ».

Etudiant deux squelettes d’un cimetière japonais, il pouvait conclure que « Ce type mixte japonais- négrito fournit un bon exemple de juxtaposition et de fusion des caractères empruntés aux deux types d’humains qui sont entrés dans sa composition ». Il n’hésite d’ailleurs pas à citer, Prichard.

« A une époque fort ancienne, dit Prichard, d’après des documents indigènes, des sauvages noirs ont été formidables au Japon, et ce n’est qu’à la longue qu’on les a soumis ou chassés ».

Après cette trop incomplète et rapide synthèse, nous ne pouvons nous empêcher de vous livrer cette pensée de George ORWELL : «  Qui contrôle le passé, contrôle l’avenir ».

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50 ans après les travaux du professeur Cheik Anta Diop sur le caractère négroïde des premiers hommes, de plus en plus rejoint par série de découvertes le démontrent. Sauf que de façon assourdissante, personne ne veut le citer, on dirait une sorte de honte et de regret pour tous ces peuples qui découvrent avec entonnement qu’ils sont des descendents de ces peuples qu’ils ont génocidé, peut-être ont -ils honte d’avoir pris Chiek Anta Diop à son époque pour le Roi des Idiot car ils se demandaient sans doute comment pouvaient-ils descendre des Africains ?

Pour ceux qui ne le savent pas, l’objectif est clair, l’effacement total de l’Africain du globe terrestre, l’une des choses que ces peuples ont en commun, c’est qu’ils respectent la volonté de leur ancêtre, ils sont les seuls qui des siècles après ont toujours pour référence les idées des pères fondateurs, pendant que nous insultons, dénigrons et diabolisons nos ancêtres. Ils vénèrent les leurs et ceci sans toutefois se cacher. C’est pourquoi des siècles plus tards les Américains ne manquent pas de citer la volonté des pères fondateurs

L’une des choses que leurs pères fondateurs ont consigné c’est et le geno-cide du noir, jusqu’ici l’africain est le seul qui ignore que sa disparition est programmé l’extermi-nation. On doit se demander pourquoi partout le noir est le seul peuple pourchassé, tous les peuples font de leur mieux pour effacer ou blanchir leurs ancêtres noirs, peuple ne veut pas avoir une trace à ses ancêtres noirs ? Pourquoi chacun évite absolument de démontrer qu’il a une ascendance noire ?


Pensez-vous sincèrement que s’ils trouvaient moyen d’éliminer tous les noirs du mon-de ils ne le feraient pas ?
Pour fuir leurs origines africaines un auteur et professeur chinois du nom de : Chang Hsing – Lang , confirme qu’il y a belle bien une ligné d’Africain en Chine et pour enfoncer, il déclare que ces négroïdes seraient le résultat d’une « importation d’esclaves noirs en Chine sous la dynastie des Tang », « Même la dynastie mandchoue sacrée montre cette souche négroïde.


Pour mieux enfoncer et effacer le noir Nicolas Sarkozy le déclarait au Sénégal que « l‘Afrique n’est jamais rentrée dans l’histoire » le but est bien clair effacer et continuer dans le processus d’écrasement de toute trace du noir dans l’histoire de l’humanité.
Chose paradoxale en 2005 un scientifique Chinois du nom de Jin Li, spécialiste en ADN voulant prouver que les Chinois ont évolué de l’homo erectus indépendamment de tous les êtres humains,

Seulement, en 2005, des tests ADN ont prouvé que les premiers habitants de la Chine étaient des Africains noirs.

Après avoir recueilli plus de 12 000 échantillons d’ADN provenant de 165 groupes ethniques différents, Li et son équipe ont découvert à la stupeur générale que l’ADN des premiers humains vivant en Chine est similaire à ceux des Africains noirs vivant en Afrique, surtout dans la région de l’Afrique de l’Est.


Un scientifique de l’équipe, Li Hui, a déclaré qu’il y a 100 000 ans, les humains en provenance d’Afrique ont commencé à migrer vers l’Asie du Sud jusqu’en Chine. Leur test a montré que 65 branches de Chinois, sont tous porteurs de mutations d’ADN similaires à celles qu’on voit au sein des peuples de l’Asie du Sud-est .


L’étude a été menée par un spécialiste en ADN, un Chinois nommé Jin Li et une équipe de scientifiques chinois. Li avoue qu’il ne cherchait pas à prouver ce fait, au contraire, il voulait d’abord prouver que « les Chinois ont évolué de l’hοmo erectus indépendamment de tous les êtres humains. »

Un autre scientifique de l’équipe, Jin Li a ajouté ceci au sujet de leurs résultats, « nous n’avons pas vu un seul individu qui pourrait être considéré comme un descendant de l’homo erectus en Chine, tous les individus étudiés provenaient de l’Afrique ».

La leçon qu’il faut retenir est que claires aucun peuple ne veut avoir pour ancêtre des faibles ou des lâches, la trajectoire des noirs dans le monde aurait été différente que ces peuples voudraient démontrer aux yeux du monde qu’ils ont des descendants africains.

Nous devons tirer des lecons de tout ceci et comprendre que nous sommes dans une guerre et course a l’effacement de notre histoire qui sera suivis par notre extermination nous avons le choix absolu nous battre redoubler d’effort et conquérir des terres gagner des luttes idéologiques et batailler sur le terrains stratégique afin d’avoir ou de rebâtir notre place dans ce monde car il faut le dire si nous étions au début c’est dire que nous sommes les meilleurs et que il est de bonne guerre qu’ils utilisent toutes les techniques et stratégies pour nous déstabiliser afin de mieux nous dominer et enfin nous effacer.

Apprenons à mener le bon combat nous devons ouvrir les yeux observer ce qu’ils font et faisons exactement la même chose tout en l’adaptant à nos réalités, beaucoup de nos frères ont la bonne volonté de vouloir apporter leur coup de main, mais le manquent de lecture globale du monde est leur principal handicap. Et avec toute cette bonne volonté ils introduisent les masses d’africains dans une sorte de trou sans fond car on ne peut après dans une situation aussi délicate que la nôtre et continuer agir comme si tout allait bien.

Un peuple qui efface son histoire ne manquera pas d’efface le peuple d’en face.

NOUS SOMMES EN DANGER D’EXTERMINATION, ARRÊTONS LES CHOSES INUTILES.

Ernest TCHAKOUTE –Coach Ben

Douala le 08/01/2022 – 17h25


Vu sur : http://www.kulturekritic.com/…/dna-evidence-proves…/

ET https://97land.com/chinois-japonais-vous-etes-cousins-des-noirs/